« Ah non, ils m’ont assez vue, 5 entretiens pour un poste, cela suffit ! S’ils ne sont pas capables de se décider, ce n’est pas la bonne structure pour moi ! »
Il n’est pas rare, au cours d’un recrutement, qu’un candidat se désiste pour des motifs variés. Et plus ce désistement survient tardivement, plus l’impact est important pour l’entreprise qui croyait peut-être tenir sa solution…
Alors comment prévenir et éviter cela au maximum ?
Nous interrogeons toujours nos candidats pour comprendre leurs raisons.
Raison n°1 : les informations recueillies sur le poste ne correspondent pas aux attentes du candidat.
Pour éviter cela, nous essayons toujours d’être transparents et authentiques dès nos annonces sur les réalités des postes et de la structure.
Nous posons aux candidats les questions concrètes de disponibilité, rémunération, organisation, aspirations au cours du premier contact téléphonique, tout en leur donnant des informations concrètes et exhaustives en échange. Si les attentes des uns et des autres ne se rencontrent pas, autant le savoir dès le début !
Raison n°2 : complexité et longueur du processus. N’oublions pas que les candidats ont souvent plusieurs processus d’embauche en parallèle – donc un processus qui s’étire dans le temps accroit la possibilité qu’ils reçoivent des offres par ailleurs ; d’autre part, la longueur d’un processus peut inquiéter un candidat sur l’efficacité de vos pratiques en interne ; enfin, si le candidat ne se sent pas assez désiré, si vous tergiversez, il peut se vexer (et oui, c’est une réalité souvent rencontrée).
Pour éviter cela, nous essayons toujours de connaître l’actualité du candidat, ses autres recherches, et d’en tenir nos clients informés. Nous recommandons aussi de réduire le nombre d’entretiens.
Raison n°3 : le manque de communication (retours sur les entretiens, points sur les processus…)
Pour éviter cela, nous posons un cadre au début de nos recrutements vis à vis de l’entreprise et des candidats.
Nous nous engageons à donner un retour sur les candidatures et les entretiens au plus tard 2 jours après un contact, prévoir l’entretien suivant si pertinent idéalement dans les 3-4 jours ouvrés, apporter une transparence sur le processus …
Nous accompagnons au maximum les étapes et les décisions de part et d’autre. Nous pouvons intervenir pour rassurer, lever un doute avec un complément d’information, ou aider à trancher, mais l’implication et la réactivité des entreprises et associations sont indispensables.
Qu’en pensez-vous ?